1978) Repenti ? Non je déconne.

Repenti ? Non, je déconne.
C’est ce que j’ai pensé en regardant la photo.

Je m'explique : le pays et l’environnement, me fait croire à un ancien pilote de brousse, convoyant de la coke sur Miami, pour un cartel quelconque.
Il se scratch, aperçoit une lumière spirituelle, se repenti, devient hôtelier .
Non, non, non, le sachet blanc que vous avez perdu, ce n’est pas moi qui l’ai .

Ca se passe au Costa Rica.
Cette coque  d’avion, extension du bungalow.
C’est original, moi j’aime bien.

A Madagascar, j’ai rencontré des pilotes de brousse.
Ils empilent les heures de vol sur diverses poubelles.
Ils doivent atteindre les 1200 h de vol pour intégrer la Cie Air France. 
On dit par la petite porte, moi je dis par la grande.
Certains aiment tellement cette liberté, qu'il reste pilote de brousse à vie et en bonheur.

L’un deux, sur un Pilatus hydro à Nosy bé, a œuvré dans la mer des Caraïbes.
Il convoie en bi moteur des langoustes entre, les Bahamas et Miami .
Il est à Nosy Bé, pour piloter de riches touristes, dans les Mitsios.
On a voler ensemble en hydro pendulaire... Il a aimé grave.

Repenti, c’est pour la rigolade.
C’est un joli délire d’architecte.
La mode est à la récup, après les containers studios et duplex, les avions ?