Les gens de Belo...
La vie à Belo...
Belo sur Tsiribihina, j’y suis en 2000, sur les traces de mon oncle, planteur de tabac à Belo sur Tsiribihina, voir la balade de dimanche dernier.
Belo sur Tsiribihina, j’y arrive après 8 jours de canoé, sur la rivière Tsiribihina.
Comme après chaque aventure, quand vous arrivez dans le bourg final, il vous parait chatoyant et abondant.
Je n’ai que des bons souvenirs, à Belo sur Tsiribihina.
Une sous-préfecture abandonnée, c’est un pléonasme.
Des vestiges colons, sur des maisons décaties.
Une vie nonchalante, rythmée par le fleuve et son bac, qui la relie à la route de Morondava.
Belo sur Tsiribihina est un hub touristique.
C’est :
- la fin de la descente de la rivière.
- le dernier village allant aux Tsingys.
- les derniers préparatifs, avant d’affronter, en 3 jours de camion brousse, le hors-piste de Maintirano.
Vous voulez me connaitre ?
Belo sur Tsiribihina, prononcez Bééélo sur Tsiribine, c’est l'image d'illustration, tout en haut.
Je la regarde de multiples fois, elle me parle.