Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Le troisième jour du voyage, je casse mon appareil photo.
J’en rachète un bas de gamme, eeeee, le moins cher possible .
Ce qui est intéressant avec l’informatique  
Tout est standardisé, je me balade facilement dans le menu.
L’appareil étant plus petit, ne voulant pas trop perdre de temps dans les subtilités, je passe l'appareil en mode tout auto… Pour un clic, clac numérique.
Au retour, je regarde mes photos.
Certaines sont satisfaisantes. 
D’autres, bizarrement, sont sombres, avec un fort grain quand je les retouche.


Avec Windows, on a le pedigré de la photo.
Je commence à comprendre.
Le problème est quasi spécifiquement numérique.

Avec mes appareils numériques, dans une ambiance sombre  
Je privilégie la touche : lumière naturelle qui respecte l’ambiance, au flash, qui éclaircie artificiellement une pièce

En amateur de photo, je trouve cet avantage prépondérant, dans l’ancienne guéguerre argentique – numérique…
Pouvoir jouer avec les ISO est le grand plus du numérique…
C’est maintenant qu’on s’aperçoit que je suis amateur… 
L'affaire est plus fine que ma basique perception.


Je n’ai pas compris jusqu’à ce jour, que la touche lumière naturelle est liée avec les ISO… Et a des limites…
En faites, j'ai compris le phénomène individuellement, mais je n'ai pas croisé les infos.

En argentique, l’amateur, même éclairé, ne joue pas avec les ISO.
Il prend une option suivant le thème de la sortie…
Jongler avec des pellicules de différents ISO vous fait entrer dans la catégorie pro :
- soit plusieurs pellicules
- soit l'onéreux, plusieurs boîtiers
 
En voyage mer, montagne, je prends 100 ASA.
Sous les tropiques, je prends 200 ASA…
Je me débrouille, quand la photo sort du créneau.


En numérique, on pousse un bouton, on a droit de 100 à 3200 ISO…

Cependant en poussant les ISO, suivant la sensibilité du capteur, on pousse le grain de la photo.
C’est très sensible, suivant la qualité de l’appareil à partir de 400 ISO pour les bas de gamme au dessus de 800 ISO pour les meilleurs…

Naïvement, je défends mon achat en clamant : whaou, pour 100 €, j’arrive à prendre du très sombre, en lumière naturelle…
Ben oui, mes ISO étant en auto… Ils sont poussés à fond…

En travail de post production, j'essaie d’éclaircir un peu la photo, instantanément, elle se brouille, dans un effet neige, eeeee, juste pas possible… 
Voila ma petite histoire ISO…

Je me documente, pour racheter un appareil convenable.
Dans la revue, il parle de phénomènes, que mes divers ratés photographiques me font comprendre.

Plus que les pixels en pagaille, ce qui compte :
- la rapidité du capteur, pour éviter de photographier le splash de la baleine par exemple
- le nombre d’ISO ne sert à rien, si la qualité de l’objectif ne suit pas…
Et comme pour la photo traditionnelle :
- le tout auto n’est pas la panacée, bien que génial, si ta photo rentre pile poil dans le critère, à large spectre, du tout auto…
En chieur universel, comme pour les sondages, je fais toujours autre…

- un objectif est un élément important de part sa qualité. 
Alors le commerçant attrape nigauds zoom 24 - 400…

Un 24 – 400, très épatant pour la vente, est techniquement forcément une bouse…

Je me suis fait piéger par les ISO…
Je ne ferai plus.
J’ai compris : et la technique et le pourquoi du comment, en croisant les infos…

Je suis rassuré pour ma progression, il va y avoir d’autres pièges qui vont se dresser sur mes clics, clacs numériques et intempestifs...

En illustration :
- photo prise en auto 800 ISO
- le grain à la retouche légère de la post production, juste le rapprochement des picots sur la bonne courbe... Edifiant non  
Plus étonnant, en préparant la démo, la neige diminue en réduisant la taille de l'image, qui passe pour le blog de 4000*3000 pixels à 525*394, re édifiant non  Et démo non édifiante.
iso800.jpgiso800retouche.jpg

Tag(s) : #Vie de tous les jours
Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :