1968 et ces avancées libertaires tout
autant que libertines, n’a pas eu raison du pratique : travail à la chaîne.
Il y a beaucoup de chose à dire sur le travail à la
chaîne.
Prenez le plus virulent militant anti chaîne.
Participez à un déménagement entre potes avec lui.
Par sens pratique, il va travaillez à la chaîne.
Cette méthode est valable et se retrouve, dans toute la hiérarchie travailleuse.
Le PDG escroc, employé du conseil
d'administration, vote systématiquement son bonus, avant d’aller l’encaisser .
Maison de la presse ce jour : la vendeuse, dans le coup de feu, répète à l'envie pour chaque client et en rythme, 3 fois : merci bien.
Quand tu lui donnes le journal ou le loto, quand tu
payes, quand toi-même tu la remercies, elle te répond encore merci bien.
Ce qui m’a mis la puce à l’oreille, dans le ronron du magasin rythmé par le merci bien, c’est quand un client lui a posé une question neutre et autre que le sujet de son travail, elle a
répondu merci bien.
C’est la confluence entre les slogans 1968 contre le travail à la chaîne et l’organisation du travail avec une chaîne nécessaire, pour son efficacité.
En faite, le travail doit être vécu et non répété
bêtement.
Une
formule de politesse inadéquat, n’est que mépris.
Merci bien les gens.