La gestion c’est simple.
Il y a deux postes que l’on peut bouger, avec grande dangerosité
évidement.
Ce sont l’amortissement et le
personnel.
Amortissement : en dépensant l’amortissement, on reporte les difficultés à la durée de l’amortissement.
L’amortissement peut constituer une avance sur trésorerie, en aucun cas, il peut combler un
déficit.
Quand on dépense l’amortissement, pour autre chose que le
remplacement, il faut savoir le pourquoi du comment et si c’est renflouable ou pas.
Dans le cas contraire, la faillite de l’entreprise est programmée et inéluctable.
Le personnel : malléable et corvéable, il a aussi des limites.
C’est
acceptable dans les progrès techniques.
On appelle ça, l’effet
diligence.
Une machine remplace l’homme, mais la machine est créée et
conduite par un autre homme.
C’est un transfert de possibilité, avec des dégâts, je l’entends bien.
Le propre de l’homme est de progresser.
Ne confondons pas progrès et
transfert de compétences, avec réduction du personnel, dans l’unique but de gagner plus.
Comme sur cette photo, on s’aperçoit que les coupes franches ont des limites.
La gestion c’est simple.
C’est une logique, de la vie de tous les
jours.
J’admire la gestion d’une famille, au jour le
jour.
Elle est à la pointe de la gestion, pour le miam, miam quotidien de
la tribu.
Elle y ajoute une donnée humaine : l’amour de la tribu,
qui manque à l'entreprise, pourtant soit disant : équipe soudée.
C’est
encore plus difficile de faire plaisir, avec un budget, parfois, voir souvent, compliqué.
Les crêpes des fins de mois difficiles, en sont un bel exemple…
Toute la
famille est contente du repas crêpes, du portemonnaie au petit dernier…
Les crêpes qu’on appelle, du nom imagé, matefaim à Lyon.
Un matefaim, support au Nobel d’économie, d’une gestion saine et joyeuse, j’aime ça
.
Comme dit mon entourage, je suis économiste pas économe .