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L'autogyre est une des premières formes d’aviation.
Elle est abandonnée au profit de l’hélicoptère.
Relancée dans les années 1980, avec la sortie du film Mad Max, l’autogyre est une des cinq catégories d’ULM.
Jusqu'en 1992 ou 1996, il fallait un brevet pour piloter un
autogyre.
Un brevet certes, mais tu n’avais pas le droit de prendre des cours…
Ca prouve la marginalité de la discipline 
Il se différencie de l’hélico par le stationnaire impossible.
Les pales tournent, grâce au vent relatif généré, par la vitesse de déplacement…
Longtemps cantonné dans le bricolage de passionnés, il acquiert ses
lettres de noblesse dans le début des années 2000, grâce aux italiens dont l'autogyre est en photo, sur le lien autogyre.
Une marque française relève le défi.
Mécaniquement c'est beau, très très beau.
Comme les italiens, c’est cher, très très cher.
Eeeee, un billet de 80000 ou une brouette de billet de 10.
Je veux par cet article, montrer l’évolution de l’ULM.
Evolution valable, dans toutes les catégories de l'ULM.
C'est plus spectaculaire dans l’autogyre…
Techniquement je suis pour, philosophiquement contre.
Encore une fois, l'ambivalence philosophie ou
pragmatisme pointe tout azimuts.
Deux photos pour un saut de 1985 à 2011.
Je vous laisse dater les photos, on ne gagne rien, c'est facile .
Une vidéo qui commence à 1’24, pour la partie
autogyre.
Vous pouvez la regarder en entier, c’est l’Ulm des années 1993 en l’occurrence, avant la courbe exponentielle, sans nostalgie aucune de ma part, juste un constat.
Comme vous êtes sages, un vidéowall de mes vols et la musique du film Mad Max...
