Je discute poésie.
Il y a la poésie : c’est du lourd parole et
musique.
Il y a la poésie :
ballade gentillette de l’adolescente fleur bleue.
Il y a la poésie : ce n'est pas bon, mais vous savez d’où il vient, alors bravo quand même.
Il y a la poésie : urbaine.
On a compris, toutes les poésies, mais urbaine c’est quoi ?
La poésie urbaine c’est Renaud : Ma gonzesse et Mistral
gagnant.
J’en suis là de ma poésie
urbaine quand, on aborde le cas Pierre Perret.
Hé les gens, c’est ça ma poésie urbaine.
C'est Pierre Perret : Estelle et Lili.
Des paroles puissantes que pourtant, vous sifflotez gaiement.
Aucun mot romantique ?
Des mots courants, des mots argotiques, ciselés et assemblés par monsieur Zizi.
C'est d’une grande gouleyance auditive.
Estelle, la réééééécoutant, je m'aperçois, que c'est une déclaration d'amour, d'un amour différent.
Je n'ai pas remarqué avant, pensant : putaing quand il aime, il ne fait pas semblant.
Ce qui prouve que l'amour est unique et donc, sans différence entre tous.
Pour provoquer, je dirais que l'amour est franchisé.
Pierre Perret et Renaud, c’est la poésie à moi Pierrot, plus qu'urbaine.
C'est dans cela, que je veux m'engouffrer.
Aussi, dans le mélange des mots précieux, d'un autre temps mais, hummm.
Je les mélange avec un " t'es bonne " comme standard des mots urbains, plus un peu d'adverbe : c'est magnifiant tout autant que bandant et hop dans la
poche.
Allez pour me
cerner, les quatre chansons … De cet article.
Eeeee, poète mais virulent sur les droits.
J'ai ramé pour trouver des vidéos libres de liens.
Une sorte d'amour et d'eau fraîche avec, un peu de caillasse non dite, mais pas non feinte.