Emission de jeux, la candidate
est québécoise.
L’animateur, joue avec talent, sur le fameux accent québécois…
La candidate, joue le jeu avec
brio.
Elle cherche du travail en France, pour agrémenter ses études.
L’animateur dit : ben ça y est, vous avez trouvez, ne vous en faites pas, on ne prendra que 95 % de vos gains, dans un éclat de rire
général.
La nana sans se démonter dit : aucun problème, 5 % d’un million, ça me va.
C’est très américain ça, dès qu’on parle
tunes ils sont en alerte.
Sans
parler tune, les pourcentages sont importants.
Pourtant, l’énoncer, blesse les gens.
Dans
mon militantisme sur le handicap, je provoque : pas trop de problèmes d’intégration, j’ai la chance, que le handicap, soit basé sur un pourcentage
d’invalidation.
C’est une vraie chance.
Si tu as un capital correct au départ, il te reste suffisamment pour vivre très bien.
Tu fais un petit effort, sachant que la moyenne des gens ne se sert que de 20 % de leurs possibilités, tu rattrapes donc ton handicap facilement.
Quand
je clame cela, on me traite de prétentieux et de : pour qui, il se prend cet handicapé.
La nana en disant cela, a choqué le public.
Comme quoi, ce n’est pas le handicap qui choque mais de parler tune et ? C’est rassurant…
Je ne suis pas américan dream, hormis pour les paysages, mais je n’ai jamais eu de problème, à parler tunes…
Tout comme cette québécoise, confrontée de par la géographie, à une double cultures.
Je l’ai déjà remarqué au Québec.
Un culte aux ancêtres les gaulois et un style de vie, influencée par les USA si proche, si influent.
Le brassage des cultures, ne peut être que positif, n'en déplaise aux étroits du bulbe.