1718) Confidence pour confidence.

Confidence pour confidence, non ce n’est pas la musique du dimanche .

Des employés licenciés pour avoir critiqué l’entreprise et les dirigeants au cours d’une tchatte Facebook, dénoncé par un ami, nostalgique des années 40.

On parle de nouveau phénomène, que nenni.
Les entreprises on toujours été espionnées, critiquées, par les employés.
Des Mataharies, ce glissent dans un lit commun en quête d'écoutes commandées.
Il y a toujours, un dénonciateur, en mal d’avancement, que le seul talent, ne lui permet pas d’obtenir.

J’ai du mal à comprendre, la démarche d’une entreprise, qui licencie un employé critiquant.
D’une critique, on en tire toujours du constructif.

Qu’un employé, parle encore travail après son boulot, est intéressant pour un patron.
Qu’un employé, parle de l’entreprise au moment du coït avec la Mataharie du soir, est exceptionnel, limite crétin .
Qu’on valorise la dénonciation par un médiocre, démontre que l’entreprise est out.

Internet, n’a rien inventé, on le sait depuis longtemps.
Ca facilité d’utilisation, sa popularisation permet aux médiocres de proliférer.

En bien ou en mal, quand un employé parle de son entreprise, on le félicite pour son investissement…
C’est ce qu’on appel la valeur ajoutée, chère aux DRH abscons et formatés, par leur cursus lénifiant.
Un rappel : la valeur ajoutée doit être positive.
La délation est donc à bannir, enfin si je comprends un peu notre histoire...
La délation, bannie de mon éducation. 
J'ai " rapiné " une fois à quatre ans.
Punition parentale : au lit sans bouffer ... Je n'ai pas recommencé... Trop gourmand .