Je le comprends, président ou pas, la vie est faite comme cela, on a le droit de s’exprimer, dans les deux sens avec des paroles vivantes.
Ce que je n’admets pas, c’est ce serrage de mains à tout va.
Serrer la main d’une personne signifie : " Bonjour, comment sa va ? "
La première des politesses, que l’on apprend dans les stages de réinsertion, c’est d’attendre la réponse de la personne, avant de le zapper, et de passer à la personne suivante.
C’est un peu le même principe qu’ici, dans la culture sociale.
Serrer une main et sauter sur la main suivante est d’une incorrection totale.
Cet humanisme, inconnu par tous les serreurs de mains, est relevé, par tous les nouveaux reporters " téléphoniques "
Oui messieurs les politiques de tous les bords, démagogues hors pairs, les médias changent, et le centre d’intérêt des reporters " téléphoniques " , sont beaucoup plus humanistes que les
journalistes diplômés à votre botte.
Ces nouveaux médias, vous ne les maîtriser pas, cela se voit, cela se sent, dans vos discours, sur ces médias.
Le serrage de mains faux cul, est en voie de disparition, et, ce n’est pas trop tôt.