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Un copain met en ligne une vidéo, sur la culture bio à Cuba…
J’ai du mal, avec tout ce qui touche l’équitabolo, bobo, écologie.
Je pars à Cuba dans six jours, je regarde…
Les cubains, après l’explosion de l’ex URSS, se sont trouvés fort dépourvus, quand le miam, miam fut venu…
Ils se mirent à cultiver bio en ville et en périphérie, pas par passion mais par nécessité.
Comme ils travaillent, pour leur bien-être, ils travaillent bien et deviennent, sans le vouloir, un exemple de l'agriculture bio urbaine…
On touche un point essentiel à mon esprit libéral.
Il va à l’encontre de l’équitabolo, bobo, écolo…
Quand je donne un cours d’ULM ou des baptêmes de l’air, je m’applique, non pour la satisfaction du client, mais pour la satisfaction d'un travail bien fait…
Je créé l’instant magique, pour que le bouche à oreille se fasse et que les clients affluent...
Cette méthode subtile est double, comme le toi content, moi content africain…
C’est plus provocant, mais tellement plus satisfaisant que le médiocre slogan équitabolo, bobo, écolo : laissons une planète propre, pour le futur de nos enfants…
NONNNNN, militons dans un : vivons sur une planète propre nous d'abord, nos enfants l’auront forcément propre et avec l'habitude, en héritage.
On gagne une à deux générations de satisfaits…
Le off des équitabolos, bobos écololos, ben oui, mais maintenant tout suite, c’est trop dur, on nous regarde travailler et ça, on ne sait pas faire…
A mon retour, je ferais un compte rendu de la micro agriculture bio à Cuba...
J'adore mon titre égoïste.
Il ouvre sur le partage, une ambiguïté sociale libérale quoi.
Je pratique ça, en voyage.
Dans les pays pauvres, je donne les cadeaux aux parents.
C'est le double effet :
- les parents son ému d'offrir à leurs enfants
- les enfants sont fiers de leurs gentils parents
Je titre dans un goujat : rien pour les chieurs...
Une importante non-ingérence familiale, qu'un esprit de satisfaction à tendance à oublier dans un : on a offert ça aux enfants, ils étaient trop contents...