Une police touristique est mise en place à Madagascar, dans les principaux lieux touristiques.
Curieusement, je la pensais de faits.
A Madagascar, je me déplace libre, fait et pense ce que je veux.
D’un naturel provoc et diplomate ;-), je ne change pas à Madagascar.
Je ne suis pas prudent mais logique.
Je rappelle : changer son fric au black, au fond d’une ruelle urinante, à 21 H, un soir sans lune, c’est complètement con.
Madagascar n'est pas responsable de cette insécurité…
Une police touristique est mise en place.
Ca ne doit pas inquiéter après coup.
Tous les pays d’Asie en sont pourvus.
J’y vois un bel avantage, si la formation est bien faite.
Dès les années 1980, au Népal, on s'enregistrait à la police, pour pouvoir trekker, nous signons à chaque village traversé.
Les déserts algériens, 1982, je m'enregistre, avec des ways points de contrôles.
En 2000, pour descendre la Tsiribinna, je me suis enregistré à la police, avec mon piroguier, les contrats signés et validés, ici et là.
Cette police, éveillée à la problématique étrangère, saura faire la part des choses, sur nos différences de coutumes et surtout, sur notre différence de langages…
Parfois, avec Emilienne et son adresse Facebook, on peut s’embrouiller, car on n’a pas compris la signification d’une phrase...
Dire gentiment : tu es folle, ne passe pas du tout à Madagascar…
Tonga Soa la police touristique, c’est un grand mot, qui ne doit pas affoler mais rassurer.
J’aime entendre les frémissements positifs.
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